{ Dirty Prince }
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 i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth

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Lady Aleth

{ "What's this? What's this? There's color everywhere ♫" }

Lady Aleth
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Localisation : Sous la pluie ♥
Âge du personnage : 15 ans



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i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth Vide
MessageSujet: i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth   i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth EmptyJeu 26 Juil - 17:13



Je veux bien être reine, mais pas l'ombre du roi.


i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth I5qel2
aleth; quinze ans; aime les garçons du peu qu'elle en sache; comtesse ou ce qu'il reste de ce titre; porte des nœuds colorés dans les cheveux; parle toute seule dès qu'une chose la perturbe; iresolute : se cherche, se trouve, se perd à nouveau, doute, affirme, contredit, questionne, argumente, oui mais, donc, sauf que, voilà, pas tout à fait, quoique, non plus, pourtant, soit.

« Les oiseaux ont eux aussi le vertige »


Tu ferais de moi ta belle de jour, j'ai tellement besoin d'amour.


Aleth, c'est d'abord une ombre qu'on entre-aperçoit. Une forme noire à l'angle d'un couloir, disparaissant derrière un rideau, s’aplatissant sous un lit. Un minuscule morceau d'étoffe charbonneux, qui accroche le regard et attire l'attention. Un petit quelque chose, qui pique la curiosité et donne envie d'approcher. Une forme fébrile, qui pousse à tirer le rideau, à s'accroupir pour voir ce qui se cache sous le sommier.
Elle.
Elle avec ses grands yeux bleus qui vous dévisagent comme si vous veniez d'une planète différente de la sienne. Ses yeux qui analysent, critiquent, mémorisent et jugent. Ses yeux qui ne savent pas mentir, qui aiment et qui haïssent, qui rient et qui pleurent, qui dévorent et qui jettent. Ses yeux océans qui passent par toutes les couleurs.
Elle avec ses lèvres roses, si roses, trop roses à son goût. Ses lèvres mobiles, mouvantes, qui babillent, s'arrondissent, s'étendent et se pincent. Ses lèvres qu'elle mord, abîme, tord dans tous les sens sans trouver le bon. Ses lèvres en velours imparfait, ses lèvres froissées par les mots.
Elle avec ses cheveux clairs, blonds, solaires. Ses cheveux fins, qui virevoltent dans tous les sens, à leur guise. Ses cheveux presque courts, presque longs, indécis, imprécis, pas vraiment aux épaules, mais pas vraiment au menton. Ses cheveux avec des nœuds, en tissus, en herbe ou en poils de chat.
Elle avec sa peau pâle, mais pas assez pâle pour plaire. Sa peau qui devrait être neigeuse comme tout le monde, mais qu'elle laisse rosir, rougir, brunir, brûler, au bon vouloir du soleil, de la pluie, de la boue et du temps qui passe. Sa peau qui aurait dû rester claire à en devenir malade, refusant de stationner dans l'obscurité rassurante de l'ombrelle.
Elle avec son corps trop étrange pour son esprit déjà bien occupé. Sa taille de guêpe qui ne laisse pas de place aux larges hanches qu'elle aurait dû hériter de sa mère. Ses jambes de moineau et ses bras-brindilles plus solides qu'ils n'en ont l'air. Sa poitrine qui pousse et l'envahie, la dérange et l'inquiète. Son corps qui lui devient étranger, de plus en plus, au fur et à mesure que les années défilent.
Elle qui vous observe, vous pose une question, attend une réponse de son air sérieux. Puis qui vous pousse et s'enfuit en courant de son pas léger comme si tout était normal.
Aleth, c'est cette étincelle qui vous éblouie pour quelques instants. Avant de redevenir ombre parmi les ombres.



Je dis aime, et je le sème, sur ma planète.


Dans sa tête, c'est le fouillis, le bordel, le bastringue, un capharnaüm sans queue ni tête, une caverne d'Ali Baba, un amalgame de trésors et de stupidités. Et vous, vous voulez que je vous décrive ça. N'importe quoi. Vous êtes fous. Complètement atteints. Enfin. Si ça vous intéresse tant, écoutez donc.
Aleth, elle a quinze ans, mais ça lui fait peur. Elle se dit qu'elle n'a pas envie de grandir. Elle songe aux jours où elle était encore une petite fille avec la seule envie de pouvoir les revivre. Tout était si simple alors ! En tout cas, c'est ce qui lui semble. Elle a l'impression que ses sept ans sont si loin, si loin d'elle... et ça l'effraie. Si seulement on pouvait avoir sept ans toute sa vie. Il n'y aurait pas à penser. Juste à vivre. Intensément, sans soucis, encore et encore. Alors que là, elle se sent sans arrêt sur le fil. En déséquilibre. Son corps n'est plus le sien. Les problèmes lui apparaissent si clairement qu'ils semblent gravés dans son esprit. L'hésitation la gagne à chaque mot. Elle n'est plus elle. Plus tout à fait.
Seules restent les questions. Ces petits points d'interrogation rassurants qui fusent aux moments où l'on s'y attend le moins. Ces choses qu'elle remarque, ne comprend pas, et tente de s'expliquer. Ce tic qui la suit depuis toujours, cette marque lui prouvant que son enfance n'a pas été qu'un doux rêve. Du coup, ce détail n'appartenant qu'à elle, elle le chérit au plus haut point. Elle le garde comme un trésor. Ne touchez pas à mes questions, pense-t-elle.
Aleth, avant, elle prenait la vie comme elle venait. Pas de soucis, take it easy. Mais depuis quelque temps, ça a changé. Elle a grandi. Elle a vu les Princes se faire renverser. Elle a vu Louis se faire exécuter. Elle a vu la peur sur les visages de ses parents, ces visages d'habitude si inexpressifs. Elle a vu William parmi les Résistants. Elle a vu son monde tomber en ruines. Et elle a compris que la vie n'était pas aussi rose qu'elle en avait l'air. Alors son innocence l'a abandonnée. Partie, envolée, à des kilomètres, hors de portée. Maintenant, elle doute. Elle se demande qui elle est vraiment, quel est ce royaume dans lequel elle évolue, à quoi ressemble vraiment les personnes avec qui elle a parlé. Elle qui pensait tout savoir ou presque, avec toutes ces petites annotations dans son carnet, elle est tombée de haut. Petit à petit, elle a apprit le sens du mot « hésitation ». Elle est devenue fragile.
Aleth, parfois, elle essaye. Elle essaye de redevenir la petite fille aux idées limpides qu'elle a été. Elle se pose dans un coin, elle ferme les yeux. Elle chasse avec toutes les difficultés du monde tous les problèmes qui l'assaillent. Et enfin, elle imagine. Un monde utopique, où tout serait aisé.
Amour, vérité et harmonie.
Ces idéaux qui la poursuivent, la traquent. Ces idéaux qu'elle croyait pouvoir un jour atteindre. Mais qu'elle n'effleure même pas du bout des doigts.



Je suis la branche qui s'arque boute, la pluie sur la vitre brisée.


« La première fois que j'ai réalisé quelque chose qui a modifié ma vie, j'avais cinq ans. Je marchais sur un petit chemin avec ma mère et ce qui devait probablement être son amant. Elle devait penser que j'étais stupide, que je ne comprenais rien. Elle devait croire qu'il était inutile de me cacher ça. Que « je ne dirais rien à mon père ». Quelle idiote. Si jusqu'ici j'avais gardé pour moi les baisers des autres et les mains baladeuses, ce n'était pas parce que j'étais diminuée mental. C'était juste que. Je l'aimais. Tout du moins, je crois, de ce que je m'en rappelle. En tout cas, je l'admirais. Je la trouvais si belle, si grande... majestueuse. Et puis je suis tombée. Je suis tombée sur les cailloux du chemin. Mon genou s'est ouvert. Je m'en souviens, c'était le droit. J'ai commencé à saigner, à pleurer, à crier « je me suis fais mal, je me suis fais mal », en me disant que ma mère viendrait me prendre dans ses bras, me caresser les cheveux, me rassurer d'une jolie voix comme je voyais tant de nourrices le faire dans le parc.
Elle ne s'est même pas retournée.
A genoux, au sol, je l'ai vu s'éloigner, riant à la plaisanterie de son ami. J'ai senti mes larmes cesser d'un coup, avec un drôle de hoquet. Mon cœur battait si vite que ça m'a fait peur. Mes mains tremblaient. L'air était froid. Et j'étais vide, tellement vide. Une coquille de noix laissée là.
Ce soir-là, j'ai compris qu'elle ne m'aimait pas. Cette femme élégante que je voyais comme un modèle ne me regardait même pas. Pour elle, je n'étais qu'une ombre, une poussière, même pas un bout de sa vie. Juste une enfant, arrivée là par besoin, presque par erreur. Une boule s'est formée dans ma gorge. Elle ne m'a plus quittée.

Ensuite, mon existence est plus au moins devenue comme les autres. Une suite de jours, de mois, d'années, d’événements et de rencontres. Une valse entre le soleil et la lune. J'observais les heures défiler sous mes yeux, l'herbe pousser dans les grands jardins du château. Petit à petit, je me suis mise à noter tout ce que j'apprenais, aussi. Je voulais tout savoir, tout comprendre, tout me rappeler. Je posais des questions, analysais, touchais, goûtais, gravais dans ma mémoire. Quelque part, je crois qu'il fallait que je comble le vide par tous les moyens. Il y avait ce creux dans mon ventre, de plus en plus profond, qui me grignotait encore et encore. Je devais l'effacer. Je devais le remplir de connaissances, à m'en faire éclater la peau, à en craqueler mes os, à en mourir. J'y arrivais plutôt bien. Pourtant, à chaque fois que je croisais les visages ternes de mes parents, je ne pouvais pas m'empêcher de me rabaisser et de gratter un peu plus le cratère de mon estomac. C'était de ma faute s'ils étaient tristes, de ma fautes s'ils ne m'aimaient pas, de ma faute s'ils ne s'aimaient plus. Je devenais la pestiférée, la terreur, la capricieuse. J'avais six ans, sept ans, huit ans, mais je restais la même. Curieuse devant le monde, minuscule devant mes géniteurs. Je n'avais pas d'opinions, pas de désirs précis. Je me contentais de vivre, sans réfléchir, essayant d'éviter les catastrophes tant bien que mal, me concentrant sur mes connaissances, tentant de ne pas perdre pieds. Voilà.

N'allez pas croire que j'étais malheureuse pour autant, hm ? Au contraire, mes années en tant que gosse ont été plutôt agréables, si l'on met à part ma relation inexistante avec mes parents. Je m'amusais pas mal, même ! Entre mes tentatives d'espionnage, mes recherches de cachettes à travers tout le château et mes interrogations successives à propos de tout et de n'importe quoi, je n'avais pas le temps de m'ennuyer. Cependant, il me semble que le moment où j'ai vraiment cessé de me dire « je n'ai rien à faire », c'est quand j'ai rencontré William dans sa librairie. Le garçon le plus étrange du monde. Je m'en souviens plus ou moins... je m'étais mis en tête de lire la Bible au moins une fois, pour voir ; ça m'avait totalement embrouillée. Rien compris à ma vie. J'avais refermé le livre avec encore plus de points d'interrogation dans les yeux qu'au départ. Je crois que j'étais un peu énervée, pour le coup. Je n'avais qu'une envie, c'était de fuir cet endroit sombre et poussiéreux, plein à craquer de toiles d'araignées. Et puis il est venu me parler. Il m'a fait peur, cet imbécile ! Il est sorti de l'ombre d'un coup, et il s'est mis à me balancer des phrases toutes plus longues et bizarres les unes que les autres. J'avais douze ans. Je n'ai pas compris un seul de ses mots. Mais il m'a bien plu, avec son air idiot.
A partir de ce jour-là, je suis allée le voir toutes les semaines.
On faisait des expériences, on réfléchissait ensemble sur les sujets les plus invraisemblables, on vivait dans notre bulle. C'était bien. J'en oubliais presque mes parents. Je lui racontais ma vie. Je lui racontais ce que je voyais, ce que j'apprenais. Je lui racontais les leçons ennuyeuses et les fêtes auxquelles j'étais conviée, où personne ne me regardait. Je lui racontais tout, absolument tout. Je lui faisais confiance. J'aurais dû me rendre compte que quelque chose clochait. Qu'il était trop discret sur sa vie pour être parfait. J'aurais dû chercher à en savoir davantage. Ça m'aurait évité de chuter une deuxième fois.

C'était il y a quelques mois. Les Résistants ont réussi leur coup. Les Princes sont tombés. Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie. Toutes ces personnes débarquant vers le château, les enfants en train de pleurer, les grandes dames mortifiées, les messieurs hurlant à l'assemblée de se barricader dans les appartements. J'ai couru à m'en déchirer les jambes. J'ai couru jusqu'au grand hall, jusqu'aux immenses baies vitrées, pour voir arriver la masse sombre s'approchant inexorablement. Je suis restée quelques instants là, à la fois fascinée et effrayée par ce spectacle. Et puis quelqu'un m'a attrapé le bras. J'ai vacillé, valsé dans la foule. On m'a enfermée dans un des salons avec plusieurs autres membres de la noblesse aux visages plus ou moins connus. Je ne sais plus combien de temps on a attendu. Ça m'a paru durer des mois. On ne savait pas exactement ce qui se passait à l'extérieur., quoiqu'on s'en doutait. Et pendant que le grand monde émettait toutes les hypothèses possibles et inimaginables, je réfléchissais. Je me demandais ce qui allait arriver, je me demandais comment mon monde allait évoluer. Je me demandais si ce serait mieux, si ce serait moins bien.
Enfin, quelqu'un est venu nous chercher. Je ne me rappelle plus bien du visage de la personne, il y avait trop de gens agglutinés devant. Mais j'ai entendu ses mots. Ses quatre mots martelés avec précision, articulés à la perfection, comme s'il avait peur qu'ils ne s'envolent.

La Résistance a gagné.

Il y a eu un silence dans l'assistance, puis la foule s'est mise à murmurer, échangeant commentaires sur commentaires sur des tons précipités. Moi, je me sentais un peu en dehors de tout ça. Je venais de découvrir le peur, la vraie peur. Je n'arrivais pas à me concentrer sur autre chose. Je pouvais encore sentir le sang palpiter dans mes veines tels des coups de canon. Tandis que tout le monde quittait la salle, je suis restée figée au milieu du salon. Un coude me rentra dans l'épaule, une épaisse chaussure vint s'écraser contre mon pied. Finalement, on me poussa en avant d'un geste brusque, m'obligeant à me sortir de ma torpeur pour avancer. Partout, du bruit. J'étais perdue, complètement paumée. Mon regard tomba sur mon corps. C'est à peine si je le reconnus. Je reçu d'un seul coup tous les changements qu'il avait eu en pleine face. Ma poitrine, mon ventre, mes hanches, mes mains, mes jambes. Je n'étais plus moi. Plus du tout. Il fallait que je trouve quelqu'un. Un visage connu, un sourire rassurant. N'importe qui, pourvu qu'il puisse me reconnaître à ma place. J'ai commencé à marcher, au hasard de la foule. Je me suis laissée entraîner jusqu'à la sortie du château, puis sur la Place Publique où un attroupement s'était formé autour d'une estrade. Oui, je m'en souviens, il y avait beaucoup de gens. Et je me souviens aussi m'être dit que William devait être là, parmi eux. Je me souviens l'avoir cherché des yeux avec un espoir grandissant, pensant qu'il pourrait me dire qui je suis, lui. Je me souviens avoir fini par poser mon regard sur l'estrade, là où se rassemblait la plupart des membres de la Résistance pour un grand discours.
Je me souviens l'avoir reconnu.
D'abord ses cheveux. Et puis ses yeux sombres. Sa silhouette. Son visage très très fin. Il était là. Il était là, parmi ces gens qui m'avaient fait si peur. Il était là parmi ces gens qui avaient tué pour leurs opinions. Le temps s'est arrêté. Ma tête s'est mise à bourdonner, le paysage a commencé à tanguer. Mon ami était libraire et complètement idiot. Mon ami échafaudait des expériences bizarres et s'endormait entre des livres. Mon ami ne faisait pas parti de la Résistance. Mon ami n'obéissait pas aux ordres d'un taré. Mon ami ne faisait de mal à personne.
Le William sur l'estrade n'était pas mon ami.
J'ai eu l'impression de ne plus connaître personne. Combien m'avait menti, encore ? Je ne savais pas. Je ne sais toujours pas. Maintenant, je doute. Je crois que je me suis perdue pour de bon. Mes analyses sont plus lentes. Il n'y a plus de blanc, plus de noir. Juste des gris. Plein de gris différents, des centaines de nuances qui me perturbent. Je ne comprends plus rien.

Je suis tombée une deuxième fois. Mais le sol me paraît beaucoup plus bas, maintenant, que du haut de mes cinq ans. »



Allez partons vite si tu veux bien, dès le jour.


mint; par eden chérie que j'aime (profite, c'est la dernière fois que j'écris ça); j'aime DP parce que c'est le premier forum où je me suis inscrite, parce que son contexte roxx' du poney, parce qu'il est cool; mais j'exige des images en .png pour les bannières; comment l'améliorer, question alakon, on répond en disant ce qu'on déteste, enlevez-la; [code validé par le libraire fou ♥]; genre j'ai peur; avouez vous m'aimez même si je fais des commentaires pourris et que cette fiche est nulle; HA HA ! ♥


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William

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i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth Vide
MessageSujet: Re: i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth   i lost my mind long ago, down that yellow brick road ♦ Aleth EmptyJeu 26 Juil - 18:28

    ... Crétiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine !!! J'adule cette fiche, même si t'aimes pas l'histoire moi je fdhlqgjhlfghl ♥♥♥ William. Je le déteste, pourquoi il a fait ça ? TwT Je veux un RP !!

    Bref, je vais ordonner à Talou de la lire aussi, pour que tu sois bien sûre que c'est objectif. 8D
    Fiche validéééée ♥♥
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