{ Dirty Prince }
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 {When the Truth is a promise…}

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AuteurMessage
Lady Aleth

{ "What's this? What's this? There's color everywhere ♫" }

Lady Aleth
Messages : 95
Localisation : Sous la pluie ♥
Âge du personnage : 15 ans



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Autres détails:
Profession ou titre: Comtesse
{When the Truth is a promise…} Vide
MessageSujet: {When the Truth is a promise…}   {When the Truth is a promise…} EmptyLun 8 Fév - 21:42

I- Who are you ?


Prénom : Aleth.
Âge : 14 ans.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
Fonction, métier, titre de noblesse : Comtesse.
Signe caractéristique : Elle a toujours un nœud blanc dans les cheveux.
Manie, habitude : Elle parle très souvent toute seule.
Groupe : Agreement.


II- What do you look like ?


La jeune fille était assise. Elle était sur un petit banc en bois, dans ce jardin qu‘elle trouvait si triste même quand celui-ci était en fleur. Autour d’elle, il devait y avoir des centaines de roses, mais elle ne les voyait pas, ses yeux étaient clos. Ses paupières cerclées de mauve recouvraient ses yeux bleu-verts comme pour les protéger du monde qui les entouraient. Elle bougea légèrement plaçant ses jambes frêles contre sa poitrine dans une position proche de celle d’un nouveau-né.

Le vent secoua ses cheveux d’or et lui amena une odeur de rose qui lui piqua le nez. Elle n’aimait pas les roses, elles l’avaient trop souvent piqué, déchiré, blessé. Certains pensaient qu’elles avaient une odeur d’amour. Elle, elle trouvait qu’elles avaient une odeur de haine, presque douloureuse à sentir.

Elle retint sa respiration même si elle savait que c’était inutile, qu’elle devrait reprendre de cet air qui la faisait tant souffrir, de cet air qui lui mettait les larmes aux yeux et les faisait s’écouler lentement sur ses joues blanches. Des petites gouttes qui auraient dû être salées mais qui étaient étrangement amères…

Alors, elle ouvrit les yeux et elle le vit. Le jardin terrifiant de la haine.


III- What do you think about you ?


Shhhhhhhh !

Un bruit familier, décisif. Celui qui permet de savoir ce que l’on va dire, quelle décision prendre, quel chemin emprunter. Celui d’une petite pièce en argent qui tournoie et fend l’air.

Côté pile.

Le corps d’une jeune fille, qui recherche ce qu’elle appelle « la Vérité universelle » ce qui consiste à savoir le maximum de chose sur ce qui l’entoure. Elle le fait généralement avec entrain mais surtout avec un très grand sérieux. Ses recherches sont surtout basées sur la lecture de livres en tout genre, de « Comment bien élever ses vaches » à « Torturons nos ennemis en dix leçons ». Elle essaye aussi, quand elle peut, d’écouter les conversations des autres mais la plupart du temps, les gens n’apprécient pas trop, aller savoir pourquoi…

Côté face.

L’âme d’une petite fille, d’une de celle qui n’a pas peur du noir, pas vraiment, qui n’a pas peur des fantômes, presque pas, qui n’a pas peur du silence, qui le comble. Mais pourtant, cette petite fille est morte de peur, de la peur la plus terrible qu’elle connaisse. La vérité.
Elle se présente comme une porte fermée à double tour et dont la clé aurait disparue, avalée par le temps. Cette porte, la curiosité, l’envie de savoir, la pousse à vouloir l’ouvrir. Mais qu’y a-t-il derrière cette porte ? Le noir ? Les fantômes ? Le silence ? Elle n’en a pas peur et pourtant, elle recule.
Mais qu’y a-t-il donc derrière cette porte ?

Heads or tails ?
De quel côté la pièce tombera-t-elle ?



IV- What is your past ?

~Five years old~


« Maman ! Qu’est-ce que c’est ? »

Un sourire éclatant s’étalait sur le visage de la petite fille. Dans sa main, il y avait une petite pierre ronde et blanche, lisse comme la peau d’une pomme. Devant elle, une femme.

Elle était habillée élégamment, sans doute se rendait-elle à une fête. À son bras, un homme, un homme qui n’était pas Papa. Elle se retourna, dévisagea la petite fille d’un air exaspéré avant de tout de même lui répondre : « C’est un caillou Aleth ! Retourne dans ta chambre maintenant, tu nous déranges ! »

Elle avait eu sa réponse, et pourtant ce n’était certainement pas celle tant attendue. L’enfant s’arrêta, regarda sa mère partir, un sourire toujours figé sur ses lèvres, un sourire qui ne voulait plus rien dire. Elle serra la pierre très fort dans sa petite main, si fort que la jointure de ses os devint blanche. Ça lui faisait mal mais elle s’en fichait, tout ça n’avait plus d’importance. Doucement, le sourire s’effaça de son visage et une larme vint rouler sur sa joue, puis une autre, une autre, et encore une autre, jusqu’à ce qu’elles deviennent intarissables. Elle se laissa tomber sur le marbre froid du salon et se roula en boule, le caillou serré contre son cœur, avant de murmurer pour la première fois :

« Pourquoi ? »


Hope is the thing with feathers
That perches in the soul,
And thing the tune without the words
And never stop at all.

[By Emily Dickinson. « Le choix d’aimer »]


~Seven years old~

Le vent bruissait dans les feuilles des arbres. Le soleil se cachait petit à petit derrière l’horizon. Les fleurs se fermaient, pour pouvoir se réveiller toujours plus belles le lendemain. Les oiseaux cessaient de produire leurs chants mélodieux pour laisser place au silence calme et apaisant de la nuit. C’était une soirée d’été des plus normales.

Mais regardez bien, vous ne la voyez pas ? Cette toute petite fille assise dans l’herbe, toute seule, au bord de la mare. Elle regardait fixement ses mains. Non, en réalité, elle comptait : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf et dix. Dix. Elle avait dix doigts. Les yeux de l’enfant s’illuminèrent, des étoiles brillants dans ses yeux d’une lueur rêveuse. Elle fouilla un instant dans sa poche, avant d’en ressortir un petit carnet rouge sombre et un morceau de fusain.

Elle ouvrit le petit livre, dont l’intérieur était encore vierge, et écrivit avec soin :
« Premièrement : j’ai dix doigts. »
Elle réfléchit un temps, observant ce qu’elle venait d’inscrire, avant de sourire et de marquer :
« Deuxièmement : un caillou c’est rond, blanc et lisse (souvent !) »
Puis, continuant sur sa lancée, elle marqua un « troisièmement », un « quatrièmement », un « cinquièmement », jusqu’à ce que toutes ses connaissances se retrouvent couchées sur le papier. Elle remplit ainsi cinq pages avant de refermer le cahier et de le ranger avec le fusain dans sa poche. Elle ferma les yeux, sereine. Elle avait enfin trouvé comment immortaliser son savoir.

Un souffle de vent fit valser ses cheveux autour de son visage, chatouillant malicieusement son nez au passage. Elle le plissa avant d’écarter ses cheveux et de s’allonger dans l’herbe. Elle écouta un petit moment le silence, puis une douce mélodie résonna dans sa tête. C’était du piano, elle en était sûre, mais elle ne reconnaissait pas l’air pourtant familier. Il lui rappelait des souvenirs. Le sourire de sa Maman à un homme qu’elle ne connaissait pas. Un sourire qu’elle-même n’avait jamais reçu. Une déception immense, si grande qu’elle avait l’impression qu’elle lui avait creusé un trou dans la poitrine. Et finalement, un froid glacial, pénétrant chaque partie de son corps perfidement, la faisant se recroqueviller sur elle-même.

Celui d’un sol en marbre sur sa joue trempée de larmes.

Elle rouvrit les yeux, regarda autour d’elle. Il faisait nuit, on devait la chercher partout. En soupirant, elle se releva et, après avoir jeté un dernier coup d’œil à la mare, se retourna, marchant à regret vers le château.


~Ten years old~

Des nuages sombres avaient envahi le ciel, Aleth devait rester dans sa chambre. Cette chambre ressemblait à une maison de poupée où l’on aurait entassé tous les jouets du monde. Des marionnettes en bois, des poupées habillées comme des princesses, des ours en peluches qui semblaient n’avoir jamais été touchés. Dans un coin de la pièce était installée une petite table ronde où était posé deux tasses d’un blanc laiteux sur leur coupelle. Le temps semblait avoir tout de même eut raison d’elle et une fine couche de poussière les recouvraient. Une vague odeur de sucré flottait dans l’air, provenant sûrement d‘une de ces boîtes roses de chocolats, à peine entamées.

Tout ici semblait intact et poussiéreux à deux exceptions près.
La première était un grand miroir, brisé dans un coin en mille éclats de verre brillants et coupants comme des diamants.
La deuxième était une petite bibliothèque rectangulaire. Il y avait peu de livres mais ils semblaient avoir été lus maintes et maintes fois.

Aleth se tenait devant le miroir mais ne le regardait pas. Son attention était accaparée par un portrait. Un portrait de ses parents. Ils riaient, sa mère se cachait derrière un arbre beaucoup trop fin pour la dissimuler vraiment. Peut-être espérait-elle échapper au peintre ?
C’était raté.

La pluie commença à tomber, les gouttes ruisselants sur les carreaux de la fenêtre dans un petit bruit sec.
Voilà, tout ce qu’elle voulait, était sur ce portrait. Ce n’était pourtant pas si compliqué. Tous ces jouets entassés les uns sur les autres, toutes ces sucreries qu’on lui offrait pour qu’elle oublie « Papa et Maman »… Mais elle n’oubliait pas. Elle n’oublierait jamais.
« Pourquoi le droit au bonheur serait-il réservé aux autres ? »
Elle avait encore parlé toute seule. Ça dérangeait les autres ? Tant pis. Elle ça la rassurait.
« Je ne suis pas toute seule puisque je suis à côté de moi. »
C’était sa logique.

Le bruit d’une lourde porte qui s’ouvre se fit entendre. Maman devait être rentrée. Elle ne viendrait pas la voir, alors elle se concentra sur le portrait. Ils étaient si heureux, pourquoi cela avait-il changé ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi… Cette question se répétait inlassablement dans sa tête toujours plus douloureuse. C’était la seule vérité qu’elle tenait vraiment à savoir alors pourquoi était-elle inaccessible ?

Finalement, Aleth pris des ciseaux entre ses doigts fins et découpa l’image soigneusement pour qu’il ne reste plus que ses parents. Elle les plaça ensuite dans un petit pendentif en argent qui se balançait au bout d‘une longue chaîne.
Elle regarda son œuvre, songeuse, puis dit en riant :
« Vous voyez ce n’est pas si compliqué d’être heureux ! »
Mais elle riait.
Et son rire sonnait faux.

~Twelve years old~

Lorsqu’Aleth poussa pour la première fois la porte de la librairie, elle savait très précisément ce qu’elle voulait et était plus qu’heureuse. C’était d’ailleurs plus en sautillant qu’en marchant qu’elle était entrée dans la boutique. Elle avait entendu des servantes en parler alors qu’elle cherchait des informations (ou plutôt hantait désespérément) dans les couloirs du château. « Il y a toutes nos réponses dans ce livre… ». Il ne lui en avait pas fallut plus pour courir vers la librairie. Elle s’avança vers les étagères et scruta les livres les uns après les autres minutieusement.

Après une petite minute de recherches intensives, elle avait fini par le trouver. Elle s’était installée à une table et avait posé le livre devant elle. La Bible. Le Livre Sacré. Toutes ses réponses étaient censées se trouver là-dedans.

Elle avait fermé les yeux, inspiré profondément et avait tourné d’un geste magistral la couverture, laissant apparaître l’intérieur. Elle s’était lancée dans la lecture avec avidité et concentration, une expression neutre sur le visage. Elle avait tourné les pages les unes après les autres, ne laissant échapper aucuns mots, pendant des heures. Elle avait pourtant fini par fermer l’ouvrage, avec la même expression neutre. Elle avait regardé un instant dans le lointain, les yeux dans le vague, avant de se réveiller.
Une grimace se forma sur son visage et elle cria d’un air horrifié :
« BON SANG ! ÇA M’A ENCORE PLUS EMBROUILLÉE !!! »
Son cri avait résonné dans la petite librairie, faisant sursauter le libraire qui en était tombé de sa chaise.

Quand le silence était revenu, elle se rendit compte qu’elle ne connaissait même pas l’endroit où elle était. Elle se mit à observer la boutique attentivement. Il y avait tellement de livres ici par rapport à sa pauvre minuscule bibliothèque ! Des livres de toutes les couleurs, de toutes les formes, des biscornus, des déchirés, des tellement troués qu’ils semblaient illisibles. Ils parlaient des sujets les plus banals aux plus insolites. Aleth les regarda avec fascination, elle aurait voulu tous les lire d’un coup.

En contrepartie, l’endroit était très sombre et aux alentours du libraire se dressait un bazar presque indescriptible. De nombreux moutons de poussière se battaient en duel avec des livres ouverts sur le sol, et des toiles d’araignées s’étaient logées dans presque tous les coins de la librairie. Elle s’approcha du libraire en train de se relever en grommelant puis celui-ci se retourna et lui sourit. Il s’était mis à parler comme quoi il était inutile de crier pour si peu mais il parlait tellement qu’elle décrocha après les trois premières secondes. Elle se contentait de faire semblant de l’écouter en se retenant de bailler tandis qu’il continuait son monologue remplit de phrases toutes plus longues et bizarres les unes que les autres. Elle s’apprêtait à partir à la recherche d’un livre lorsqu’elle entendit le libraire lui dire :
« Il est extraordinairement compliqué de trouver le bonheur, tu sais ? »
Elle ne savait pas comment il était arrivé à lui dire ça, mais sans qu’elle sache pourquoi cette phrase la rendait étrangement heureuse. Ainsi, elle n’était pas seule. Pour la première fois depuis le début du monologue elle avait souri au libraire, d’un vrai sourire, d’un qui vous réchauffe et vous rassure comme un soleil d’été. Puis elle s’était retournée et avait arpentée les couloirs remplis d’étagères, il lui semblait que le libraire s’appelait William. Il avait dû lui dire entre deux tirades. Elle finit par trouver un livre et se désintéressa quelque peu de William et de ses phrases tarabiscotées. L’ouvrage était blanc, les bords étaient cornés et le titre était gravé en lettre d’or. C’était le deuxième livre qu’elle lirait ici.

Elle se réinstalla à la même table et, avant d’ouvrir le livre, sortit son carnet et marqua : « Cinq cent vingt-deuxièmement : Ne plus jamais lire la Bible. »


~Fourteen years old~

Aleth courait. Elle courait à en perdre haleine dans les couloirs du château. Quelque chose avait changé aujourd’hui. Elle le sentait. L’ambiance était pesante, lourde, personne parmi les gens qu’elle avait croisé ne souriait. Elle se sentait anxieuse, que se passait-il ? Elle allait tourner à l’angle d’un couloir quand elle entendit des servantes parler à voix basse. Elle stoppa net et se cacha derrière une statue, se collant le plus possible au mur froid. Peut-être que ces femmes de chambre étaient au courant de quelque chose ? Il fallait qu’elle sache. Les femmes arrivèrent enfin près d’elle et elle put entendre leur discussion :
« Le roi a disparu… Il parait que les princes ont pris le pouvoir. C’est vrai ?
-Je crois que oui. J’espère que… »


Leurs voix s’éteignirent dans le lointain avant qu’elle puisse entendre la fin de la phrase. Elle poussa un soupir de soulagement. Elle en avait entendu assez pour savoir que c’était important mais pas aussi grave que ce qu’elle avait imaginé. Elle sortit de sa cachette, reprenant d’un pas plus tranquille son chemin vers leurs appartements. Elle prit un couloir, tourna à gauche dans un autre avant de tout de même se dire :
« Il n’empêche qu’à part moi, je n’ai vu que des gens paniqués par cette nouvelle… Pourquoi ? Ça ne change pas vraiment beaucoup la situation… »

Elle continua à divaguer sur le sujet jusqu’à ce qu’elle arrive devant la lourde porte de chêne de l’appartement. Elle entendait ses parents murmurer à l’intérieur. Étrange… Elle attrapa la poignée, l’actionna, et entra, hésitante, dans le grand salon en marbre. Ses parents s’entretenaient debout, devant la cheminée, l’air de ne pas avoir remarqué le moins du monde son entrée. Pas même un pauvre « bonjour » à peine poli, elle était habituée donc elle ne dit rien sur ce sujet. Par contre, après avoir choisi soigneusement comment formuler sa phrase, elle demanda :
« Père, Mère, je souhaiterais savoir ce qu’il se passe en ce moment même au château. J’ai entendu des servantes parler de la disparition du roi. Est-ce bien vrai ? Répondez-moi s’il vous plaît. »Pas de réponse, pas même un vague signe indiquant qu’ils avaient entendu.
« Répondez-moi… »
Elle murmurait à présent, les implorant presque. Rien.
« S’il vous plaît… REPONDEZ-MOI !!! »Cette fois elle avait hurlé. Elle sentait les larmes lui monter aux yeux tandis que ses parents continuaient à parler, impassibles. Elle courut s’enfermer dans sa chambre, mais à quoi bon tourner cette clef puisqu’on ne viendrait pas la chercher. Personne ne s’inquièterait pour elle, personne ne s’était jamais inquiété pour elle. Elle n’était qu’un fantôme, une personne dénuée de réalité. Sans importance. Son cœur se serra en une boule compacte et emplie de douleur. Elle se recroquevilla sur elle-même, laissant les larmes couler sur son visage. Ses joues, son nez, ses lèvres. Ça faisait si mal.
Elle se releva péniblement, alla ouvrir un tiroir de sa coiffeuse, et en tira un pendentif en argent. Il contenait un portrait. Elle s’approcha du feu, si près qu’elle sentait la chaleur l’envelopper comme un voile rassurant.
« J’ai connu l’amitié. »
Elle déchira l'image.
« J’ai connu la curiosité. »
Elle brisa la chaîne.
« Maintenant, je connais la haine. »
Elle les jeta dans les flammes, brûlant les dentelles de sa robe. Elle regarda par la fenêtre. Elle repensa à une phrase que William lui avait dite, la première fois qu’elle l’avait rencontré, dans sa librairie.« Il est extraordinairement compliqué de trouver le bonheur, tu sais ? »
Un oiseau, perché sur une branche, chantait.
« Je ne connais pas la vérité… »
Elle sourit.
« Mais je vais la chercher ! »

La vie est-elle autre chose qu’un songe ?
[By Lewis Carroll. « Alice in Wonderland »]

V- Who are you in real life ?

Votre nom ou pseudo : Tit’ canetoooon \o/
Comment avez-vous découvert le forum ? Léa-chiiiiiiiii <3
Qu’aimez-vous/détestez-vous dedans ? Vive les poireaux ! (= sais pas quoi dire…)
Comment l’améliorer ? //
Rien à ajouter ? [Validé Loulou] et cette fiche est mieeeenne *o* Je lirais demaain <3 (c’est quoi ce code de ***** 8D)
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Invité
Invité
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{When the Truth is a promise…} Vide
MessageSujet: Re: {When the Truth is a promise…}   {When the Truth is a promise…} EmptyMar 9 Fév - 21:20

    Désolée pour l'attente T___T

    Doonc, je n'ai qu'un mot à dire, j'aime *o*

    Le style est très joli, c'est fluide, beau et puis voila... J'adhère totalement ♥️

    Je te valide donc avec plaisir, fais-nous de beaux RP aussi jolis que ta fiche vhbfjkbvgkjd <3

    Validée > Agreement
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