{ Dirty Prince }
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 Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E]

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Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E] Vide
MessageSujet: Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E]   Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E] EmptyMar 24 Mai - 23:41

    I – Le Cadavre Exquis :

      Prénom : Candys
      Âge : 23 ans. 15 août.
      Orientation sexuelle : Bisexuelle.
      Fonction, métier, titre de noblesse : Comtesse.
      Signe caractéristique : L'hypocrisie. Je n'en dirai pas plus.
      Manie, habitude : Candys a horreur de la routine. Des habitudes. Pour quoi faire ?
      Groupe : Unsettled


    II – Chronique Sordide :

      # Candys. La Candide-comme-lys, disait-on autrefois. Jusqu'à ses vingt printemps. Quoique « hivers » aurait peut-être davantage convenu. Avant ses vingt ans. Après ses vingt ans. L'année de ses vingt ans. Année décisive ? Pas du tout. Pourquoi aurait-elle été décisive ? Quelle décision ? Aucune. Année mouvementée, certes. Peut-être même trop. Qui est-elle ? Ne soyez pas si pressés de la découvrir. Vous le regretteriez sûrement. Son petit air triste sur le visage ? Allons ! Ne voyez-vous pas qu'il ne s'agit que d'une pure comédie pour ne pas être démasquée ?! Ne vous rendez-vous donc pas compte qu'elle n'est là que pour une seule et bonne raison ? Aaah, mais c'est qu'elle sait jouer la comédie... Trop bien peut-être ! Là est le piège... Ne pas se laisser mener par le personnage que l'on incarne, se rappeler, bien ancrées en soi, des croyances pour lesquelles nous nous battons. Lesquelles ? C'est une excellente question... Patientez encore un peu, la réponse vous sera donnée très bientôt ! Candys. Trois ans se sont passés depuis qu'elle est entrée à la cour. Trois ans furieusement difficiles.

      « Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d’être un homme. »

      # Vous vous demandez certainement ce que cette citation du film le plus amusant que j'ai eu l'occasion de voir fait ici. Moi aussi. Reprenons.

      # Un souvenir. Voilà ce que nous visiterons aujourd'hui. L'un des souvenirs les plus brillants, les plus ancrés, les plus mauvais, les plus morbides, les plus sales, les plus immoraux, les plus étranges de Candys. Attention ! Tenez-vous prêts à plonger dans un moment plus que difficile de la vie d'une jeune fille de douze ans. Vous n'en ressortirez pas indemnes.

      [__« Man ! Man ! Où c't'est qu'il est l'bol d'Duchesse ? »

      Un sourire radieux brillait sur les lèvres de la petite fille. Cela faisait bien une heure qu'elle courait partout, à la recherche dudit bol de sa chienne. Aujourd'hui était un jour très particulier ! Son papa, sa maman, et son frère aussi ! Ils recevaient la famille de son amoureux, à Candys. Il s'appelle Edmund. C'est un prénom... Moche. Mais elle, elle s'en contrebalançait. Elle l'aimait beaucoup, son Edmund. Et il était à elle, et RIEN QU'A ELLE ! La première qui s'en approchait, dans les rues de la ville, et bah... Et bah elle sortait les ongles et les dents ! Parce que... Ben d'abord, c'est lui qui lui avait donné son premier bisou sur la bouche... Et ça, dans la vie d'une petite fille, ben ça compte beauuuucoup ! Et donc, pendant que la petite fille aux cheveux roux (plus ou moins longs, soit-dit en passant. En fait, ça dépendait de quand sa maman les lui coupait) s'excitait dans toute la petite maisonnée, la dame de maison (autrement dit, sa mère) terminait de préparer à manger.

      Maman de Candys était tellement heureuse. C'était bien la première fois qu'elle voyait sa fille aussi joyeuse et rien n'aurait su lui faire plus plaisir. Dans ce petit village perdu d’Écosse, peu d'évènements réchauffaient le cœur de ses habitants. Un mariage une fois tous les trois ans (et encore). Une naissance une fois tous les six mois (et encore). Et tellement de décès. Uns fois par semaine (au moins). Un cri aigu se fit soudain entendre de l'étage. Maman de Candy posa ses ustensiles sur la table de cuisine et se retourna, les mains posées sur les hanches, sur son tablier tout pas beau tout sale. Un sourcil haussé, elle s'apprêtait à s'avancer vers les marches, sur sa gauche, renfoncées, lorsqu'un tourbillon de cheveux lui atterrit dans les bras. Un tourbillon de rires. Soupirant alors tendrement, elle releva sa fille et lui replaça quelques mèches rebelles.

      « Te décoiffe pas, la mignonne ! Ton damoiseau et sa bande ne d'vrait pu' tarder ! Va donc met' la table ! »

      Candys resta accrochée au tablier de son aïeule.

      « J'ai r'trouvé l'bol à la Duchesse ! J'reste avec toi ! J'veux m'aussi faire d'la nourriture ! »

      Maman de Candys fronça les sourcils et poussa sa fille, sans lui faire de mal. Elle lui prit le petit bol blanc qu'elle avait dans les mains et le posa sur la table de la cuisine, les sourcils toujours autant froncés. Elle posa ses poings sur les hanches et regarda fixement sa gamine.

      « Non ! Mets l'table ! Y'd'vraient pu' tarder, qu'j'te dis ! »

      Candys ronchonna dans sa barbe (qu'elle n'avait bien évidemment pas), tira la langue à sa maman et s'éclipsa en courant dans la salle à manger. Une belle salle à manger, pour des gens pauvres. Une grande table, pouvant accueillir une quinzaine de personnes. De belles fleurs dans de beaux vases. La petite fille aux yeux davantage rouges que marrons dut se mettre sur la pointe des pieds pour réussir à attraper le service. Il se trouvait dans une armoire, pas très loin de la table, et les assiettes et autres couverts se trouvaient en hauteur. Néanmoins, débrouillarde, la p'tite parvint à les prendre et à les poser sur la belle nappe de la belle table sans faire trop de bêtises. Il lui fallut bien cinq à dix minutes pour tout mettre sur la table. En effet, à chaque fois qu'elle posait une assiette en face d'une autre, il fallait qu'elles soient parfaitement alignées. Maniaque, en plus de ça. Au moment de poser la dernière cuiller, on toqua à la porte. Le cœur de la p'tite demoiselle accéléra le mouvement et, alors qu'on entendait un J'vais ouvrir ! de la cuisine, Candys n'en fit, une fois de plus, qu'à sa tête. Elle ne chercha même pas à comprendre si elle était bien coiffée ou quoi ou caisse, passa le long de la table, se mit à courir et arriva devant la porte. Avant sa maman, bien évidemment. Là, elle prit la poignée dans sa main droite et la tourna rapidement. Elle ouvrit finalement la porte.

      Le sourire radieux qui était sur son visage s'effaça aussitôt qu'elle aperçut la tête des deux personnes sur le palier. Sans se poser de questions, elle laissa la porte ouverte, sortit. Et courut. Longtemps, longtemps, très longtemps. Ces deux messieurs qui étaient là. Elle les avait vus une fois. Une seule fois. Pour le décès de sa mamie. Aujourd'hui, ils étaient venus pour son père. Elle en était sûre et certaine. Dans les rues de son petit village, Candys bousculait tout le monde. Elle ne pleurait pas, non. Elle n'avait jamais pleuré. Même petite. Jamais. Elle ne savait pas ce que c'était. Elle hurlait. Hurlait sa rage, son désespoir. Son papa. Le seul homme, avec son frère et Edmund, qui l'avait jamais aimée, fait rire, fait vivre. Les passants comprenaient ce qu'il se passait. Ils étaient déjà au courant, bien évidemment. La famille du défunt était généralement la dernière à la savoir, ici. La petite demoiselle finit par sortir du village. Elle continua à courir pendant quelques temps. Pas excessivement longtemps. Mais pas pendant dix minutes non plus. Puis, épuisée, elle finit par s'arrêter dans la forêt. En plein milieu d'une clairière. On aurait dit un petit faon abandonné à son sort. Candys avait du mal à respirer. Elle avait réalisé un effort physique trop intense en trop peu de temps, ses poumons et son cœur ne suivaient plus.

      Il lui fallut environ vingt minutes avant qu'elle ne parvienne à se calmer. Allongée dans l'herbe, sur le dos, elle regardait les nuages. Ils étaient beaux, les nuages. La petite à la peau bien blanche savait qu'elle n'aurait pas dû ainsi quitter la maison. Elle allait se faire gronder par sa maman et par son frère en rentrant. Non. Elle ne rentrerait pas. Si, elle devait rentrer. Elle n'avait rien. Pas de vêtements de rechange. Pas de besaces avec des onguents pour se laver. Pas d'argent. Rien. Finalement, elle s'endormit. Lorsqu'elle se réveilla, il faisait nuit. Elle avait peur. Très peur, trop peur. Ses membres tremblaient. Ses dents claquaient. Pourtant ils ne faisait pas froid. Mais l'angoisse dominait tout le reste. Lentement, elle se releva. Elle ne voyait rien. Ne savait pas si elle venait d'en face, de la gauche, de la droite, de derrière. Les sorties se ressemblaient toutes, la nuit. Elle était seule. Toute seule. Pour la première fois de sa vie. Elle enfonça ses mains dans ses poches et ses ongles dans sa peau. Elle était toute seule. Personne pour l'aider. Elle cria. Deux, trois, quatre, cinq, six fois. Mais rien. Personne ne lui répondit, à part une ou deux corbasses. Ses yeux étaient grand ouverts.

      Elle tournait sur elle-même, telle une fille prise de démence. Elle regardait partout. Essayait, tout du moins. Elle tournait, de plus en plus vite. Sa vision devenait floue. Elle tournait, encore, encore et encore. Vite, très vite, très très vite. Tout devenait flou, un rire commençait à s'échapper de ses lèvres, un rire glauque, un rire cruel, une rire de folle, de démence. Et elle tournait encore, ses pieds suivaient, ils obéissaient, se déplaçaient à peine. Et soudain tout s'arrêta. Et des larmes roulèrent sur ses joues. Candys écarquilla les yeux. Qu'était-ce que cette eau ? Il ne pleuvait pourtant pas. Lorsqu'elle comprit, elle pleura d'autant plus. Elle sortit ses mains tremblantes de ses poches et les posa sur ses joues humides. Elle posa son index sur une larme, l'apporta à ses lèvres et eut un frisson. C'était écœurant. De l'eau salée. Horreur. Voilà pourquoi il ne fallait pas pleurer. Ce n'est pas bon. Néanmoins elle continuait. Elle en tomba à genoux. Mis son visage dans le creux de ses mains. Et pleura. Longtemps. La solitude, la fatigue, l'angoisse l'avaient stressée. Et la tension redescendait d'un coup, avec violence. Elle aurait pu pleurer encore longtemps comme ça si elle n'avait pas entendu un bruit sourd derrière elle. Son visage se releva automatiquement, ses sens se mirent aux aguets. Elle entendait une respiration, pas très loin, mais pas très proche. Elle sentait une drôle d'odeur, comme quand sa maman dépouillait un p'tit lièvre ou un coq. Du sang. Candys avala difficilement sa salive. En essayant de faire le moins de bruit possible, elle se releva. Et se retourna. Le cœur battant à tout rompre, elle faillit avoir un haut-le-cœur. Le spectacle qui s'offrait à elle était tout bonnement immonde.

      Un étrange animal, qu'elle avait déjà vu mais dont elle avait oublié le nom, s'amusait à dépecer un p'tit lapin. Il s'amusait à lui enlever quelques poils par-ci par-là, puis quelques morceaux de peau, quand ce n'était pas des morceaux de pattes. Le pauvre petit animal était couvert de sang. Il ne pouvait rien faire. Il était pris au piège. Il se doutait qu'il allait y passer. Son cœur devait battre très très vite ou bien très très lentement. Candys ne parvint pas à bouger devant cette vision d'horreur. Elle ne pouvait s'empêcher de regarder, de contempler. D'admirer le travail du prédateur. Son regard croisa celui du lapin. Un faible gémissement s'échappa des lèvres de la petite fille au nez à peine retroussé. Ce regard était si désolant, si triste. Elle pleura encore. Tenta de soutenir le regard de cet animal qui se faisait écorché vivant. Puis elle se remit à courir, loin, très loin. Cette vision, elle ne la supportait plus. Elle courut sur une distance longue. Jusqu'à apercevoir de la lumière. A cet instant, un bref sourire apparut sur ses lèvres. Elle accéléra le pas, bien que déjà très fatiguée. Au fur et à mesure que les lumières se rapprochaient, un brin de gaité apparaissait dans son cœur. Elle s'aperçut qu'elle était finalement revenue chez elle. Dans son petit village. Alors, lentement, elle se laissa tomber, devant les portes du bourg. Et elle sombra dans un profond sommeil.

      Le lendemain matin, ou plutôt après-midi, lorsque ses yeux s'ouvrirent, Candys s'aperçut qu'elle était de retour chez elle, dans sa chambre. Toute contente, elle se redressa et sortit de son lit. Étrangement, ses cheveux paraissaient plus longs. La fille haussa les épaules et descendit en trombe les escaliers qui, eux, semblaient avoir rapetissés. Mais elle était bien trop contente d'être de retour chez elle pour se poser des questions. Malgré tout, lorsqu'elle pénétra dans la cuisine, son cœur manqua un battement. Sa maman avait grossi. En si peu de temps ? Ses cheveux étaient devenus gris. En une journée ? Candys déglutit avec difficulté, son regard bloqué sur sa mère. Elle, sa maman, se retourna en l'entendant descendre les escaliers. Et, lorsqu'elle vit sa fille sur pieds, elle fondit en larmes. La jeune fille s'approcha d'elle et se rendit compte qu'elle était devenue plus grande. Alors, d'un coup, elle comprit. Tout devint logique dans sa tête. Et elle n'en crut pas ses yeux. Afin de vérifier, elle alla dans la salle à manger et se posa devant la glace. Elle affichait un visage plus qu'étonné, légèrement effrayé. Elle était une jeune femme, maintenant. Elle avait pris de la poitrine. Ses membres s'étaient rallongés. Ses cheveux bouclaient légèrement, à peine. Elle avait dormi pendant plus de sept ans. Un choc. Sa maman approcha alors derrière elle. Et posa ses mains sur ses épaules.

      « Depuis c'matin où on t'a r'trouvée d'vant l'village, t't'étais pas réveillée. L'docteur y disait qu'tu t'réveillerais pas. Mais j'ai pas cru, moi ! Et t'es là... Ma grande fille ! »

      Maman de Candys repleura. Candys, elle, n'y parvenait pas. Elle n'en revenait pas. Et pourtant, rien ne semblait avoir changé... Elle se releva. Et, du haut de son petit mètre soixante, posa son regard sur sa mère.

      « J'vais m'en aller. J'dois ben avoir des sous d'côté. J'vais m'ach'ter une belle robe. Pis j'vais partir j'sais pas trop où. Dans l'sud. Pis... J'reviendrai, un jour. Toute belle, avec plein d'sous. Et pis j'te donnerai tout. Pour qu'tu t'sentes la plus heureuse, Man. »

      Sans attendre une quelconque réponse de sa maman, la jeune femme quitta la salle à manger et monta dans sa chambre. Elle fouilla dans les armoires, les tiroirs, et trouva finalement quelque argent qu'elle pourrait dépender dans une belle robe. Il lui resterait encore des sous après. Elle prépara ses affaires en vitesse. Descendit les escaliers. Regarda sa mère, en larmes à l'idée que sa fille, à peine réveillée, puisse l'abandonner et abandonner son autre fils. Puis elle sortit de la maison.__]


      # Voilà. Ce souvenir s'arrête là. Le reste de la vie de Candys est bien trop inintéressant. Elle est partie de chez elle, est arrivée au royaume. Avant cela, elle s'était achetée une belle robe. Elle a donné son corps pour devenir plus ou moins riche. Une fois au royaume, elle s'est fait passer pour une dame de la noblesse. Une comtesse. Ses charmes ont vite fait le reste. Et, après tout. Son père était comte. Du plus petit comté du pays. Mais il était comte. Néanmoins, le régime mis en place l'outre plus qu'autre chose. Elle a donc décidé de faire semblant. Ô beau Prince, votre bonté n'a d'égale que votre douceur. Et patati. Et patata.

      « À mon signal, déchaine les enfers. »

      # Je m'arrêterai là. J'espère que ce souvenir vous a plus. Sinon, allez au diable. Candys n'a pas une vie facile. Jour après jour, elle réunit des éléments. Elle en a de plus en plus. Mais il lui en faut encore. Vivre au château n'est pas simple tous les jours. Lécher les bottes de deux êtres méprisables est encore plus difficile. Tout, ici, n'est que supercherie et hypocrisie. Elle le sait. Et, un jour, elle parviendra à réussir sa mission. Délivrer ce peuple oppressé. Et partir d'ici. Retourner voir sa mère. Lui apporter son aide. Cela fait trois ans. Elle n'en a plus de nouvelles. Elle a dit à tout le monde, en arrivant, qu'elle venait de perdre toute sa famille. Oh, quelle tristesse sur son si joli petit minois. Tristesse bien hypocrite, jeunes gens ! Préparez-vous, vous risquez d'être surpris.



    III – Anastasie censure :

      Votre nom ou pseudo : Haha.
      Comment avez-vous découvert le forum ? Top-sites.
      Qu’aimez-vous/détestez-vous dedans ? Hmpf... J'en sais rien.
      Comment l’améliorer ? Id.
      Rien à ajouter? [code bon par la Toute Puissante (ou pas)]


Dernière édition par Lady Candys le Jeu 26 Mai - 10:22, édité 1 fois
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Eden

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MessageSujet: Re: Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E]   Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E] EmptyMer 25 Mai - 22:00

    Bonsoiiiir ♥

    Ta fiche est très bien écrite, j'aime beaucoup l'histoire de Candys mais... il y a juste quelque chose qui cloche, au niveau du groupe >< En fait, il faut mettre son vrai avis, même si elle joue la comédie ^^" Donc, si elle est contre le royaume, elle ne peut pas être dans les Agreements .__. Mais elle peut être Unsettled, si tu veux =3

    Il y a juste ça à changer et après on te valide o/
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MessageSujet: Re: Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E]   Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E] EmptyJeu 26 Mai - 10:21

D'accord. ._.
Voilà.
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Theophil

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MessageSujet: Re: Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E]   Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E] EmptyJeu 26 Mai - 21:05

    Hello et bienvenuuue!

    Normalement, c'est à Eden de te valider puisqu'elle a pris en charge ta fiche, mais elle ne peut malheureusement pas aller sur l'ordi ce soir - aussi m'a-t-elle donné son aval pour que je me charge de toi \o/
    J'ai vu qu'en effet tu avais rectifié ce qu'il fallait, aussi, je te valide sans plus tarder! =D
    Amuse toi bien, surtout ♥

    Validée > Unsettled !

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MessageSujet: Re: Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E]   Αιδήμων σιγή. [A C H E V E E] Empty

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